3 enchanteurs au CENTRE en chantier chuintant, K-ducs Cygne et Aigle obsolètes au CAducée à L'ire

Conflit d'inTérêt à l'équinoxe ou conflit de canard(s) et lent-gage des oisons en transe-pas-rance,
et règlement de comptes ou de conte au sein du triangle d'été ou des "T"...


La trilogie du centre enchantée d'être en chantier pour une nouvelle mouture astrale :

ITE MISSA EST... et 3,5,3 de symétrie ou 3 +3 = 6, + 5 au total de 11 pour 1 & 1 Gemini à l'épiscopal, tels les 2 vantaux du portail à l'éventail,
 Diagonale et diable de tasse manie : Score pion deviendra un jour la Dame à la Li-corne (""MON SEUL DESIR" isiaque 3,4,5 & ECCE AGNUS DEI dans le désordre)
Faire parler le linteau :
Au centre du linteau, caput - cauda aviaire et avis ère en pare à l'aile (!) : Mars - Aigle à gauche, et Jupiter - Cygne à droite (et l'enlèvement de Ganymède dans les ganivelles ?).
Le personnage central vise avec sa main droite : Saturne en Verseau par l'index, Vénus en Poissons par le majeur, Mercure par le pouce entre les deux précédentes planètes et signes,
Jupiter en Vierge par l'annulaire et Mars en Bélier par l'auriculaire, seul ce dernier (Mars-Aigle) n'est pas dans l'axe mais cependant en-dessous de l'axe des équinoxes.
Par contre il tient dans sa main gauche orientée vers Mars (en Aigle), le carré Sator à 25 cases comme celui de Mars à 5x5, avec une évocation en X,
et à l'intérieur la possibilité d'inclure un carré plus petit comme celui de Saturne à 3x3, et 5 côté de Mars + 3 côté carré de Saturne = 8 carré de Mercure avec option diagonale,
avec 88 perles au centre pour évoquer le nombre de jours de la révolution sidérale de Mercure (Cas du C de Mercure : 2 serpents en 8 et 2 ailes).
Le grand cercle en haut simule l'équateur céleste, l'arc rajouté en bas évoque l'écliptique, il s'agissait de bien cerner la problématique céleste pour la carte du ciel de cette éclipse.
Cette partie centrale concerne aussi la Lune avec la précession nodale, voir page sur la Lune


Le CAs de la grande métamorphose où Cygne et Aigle sont concernés :
Dans la page Le contexte de l'An Mil et du XI° S, Gerbert & sylvestres conséquences, il a été relaté l'importance de ces deux constellations en un système de référence devenu obsolète au bout d'un millénaire.

Faisons le point comme il a été fait au début du XI° siècle :
- La constellation du Cygne n'était plus dans l'axe des solstices, elle avait été outrepassée vers l'An Mil au plus tard.
- La très pratique constellation de l'Aigle était d'outrepassant à l'époque de l'An Mil, et sur le point d'être outrepassée au cour du XII° siècle c'est à dire sous peu après le XI° siècle.
- C'est pourquoi ces deux constellations en forme de croix devenues obsolètes devaient être déréférencées dans une métamorphose des repères stellaires.

1°) Formulation d'une nouvelle hypothèse orientationnelle de premier lieu, une miniature et un des trois sommets subsistent que l'on intronise :

Triangle d'éTé en rouge, et triangle
en jaune à pointe au centre de l'écliptique,
l'ensemble formant une sorte de los-ange,
entendre aussi par éTé une référence au
palindrome saTor et une allusion au bras
principal de la croix solstices-équinoxes.
- Les deux constellations du Cygne et de l'Aigle font partie du triangle d'éTé par respectivement les étoiles Deneb - le cul du Cygne - et Altaïr -le bec de l'Aigle - (le bec du Cygne étant Albiréo), l'étoile Véga de la constellation de la Lyre est le troisième point pour former ce triangle avec les deux premiers nommés. Ce triangle était bien visible depuis le début de notre ère avec une inclinaison qui a varié de 30° environ en 2020 ans, soit d'une quinzaine de degrés depuis l'An 1020.
Constellation de la Lyre, en forme de
parallélogramme rappelant le losange
imparfait au côtés égaux 2 par 2, et la
65° case du paradoxe diag. continue
- La constellation de la Lyre était encore disponible pour être "transitée" par le bras de force que constituait le bras le plus long de la croix solstices-équinoxes. De plus elle était située à côté de la constellation d'Hercule (qui annonçait la couleur pour la barre des solstices et mât de la grande croix).
- Il ne fallait pas couper brusque la continuité du triangle d'été contenant Cygne et Aigle et s'en référer pour partie à la Lyre désormais. D'autant que la constellation de la Lyre avait une forme particulière qui relatait la passé du triangle d'éTé : un losange se formait (et se forme encore) en ajoutant à ce triangle d'été un triangle plus petit au-dessus du côté Deneb-Véga avec comme troisième point d'ancrage le pôle de l'écliptique dans la constellation du Dragon, ce qui relie directement à Saint-Michel et pas dans une moindre mesure. Il ne fallait pas non plus couper court à la notion de paradoxe de la diagonale continue que suggérait ce losange.
 - La constellation de la Lyre a la forme d'un parallélogramme qui rappelle en effet la forme du los-ange précédent.

- Deux los-ange(s) calli-fournis par la voûte céleste, et deux oiseaux stellaires qui disparaissent des écrans radars, tel est le premier message des trois personnages du centre du linteau dont deux aviaires.
- La troisième pointe du triangle était là de fait avec la Lyre et pouvait donc faire office avec sa forme d'un losange en réduction, pour mémoire d'un passé de mille ans et pour l'avenir d'un passage du bras de force de la croix (ce qui sera fait en limite XV°-XVI° siècle avec la Dame à la Licorne où la Lyre sera représentée par le coffret à bijoux). Losange irrégulier et parallélogramme pouvant relever du paradoxe de la diagonale continue, et parallélogramme (de la Lyre) contient ara comme Ara-gon ou ara-gond, paradoxe aussi.
- Une Lyre qui figure dans le personnage central en filigrane (voir plus bas), les deux constellations aviaires intronisant la Lyre, le personnage central invitant d'ailleurs à Lire.
- Mais ce nouveau référent-ciel était un peu léger de miniature et de consistance, il convenait d'y rajouter du plus lourd en structures.
- Et c'est l'objet du rajout d'un demi-cercle inférieur en bas du personnage central : un zodiaque lunaire.
(à suivre...)


 -la barre principale de la croix avec une rotation de l'ordre de 15° d'arc liée à la précession avait ou était proche d'avoir balayé ces deux constellations en forme de croix.

(à suivre...)

 - Le second message des trois personnages du centre du linteau est de mettre en place aussi du lourd : un axe des solstices pertinent qui puisse servir de référence pour l'avenir même au cours de l'ère suivante.

2°)  Formulation d'une nouvelle instance orientationnelle de second lieu avec modèle de visibilité et de lisibilité à l'œil nu :

Un axe de référence bien palpable et significatif est instauré pour longtemps, à partir de ce qui est proposé par la voûte céleste avec la stratégique Antarès du Scorpion.
N'était-ce pas mettre à l'honneur le Scorpion pour avoir été remplacé par l'Aigle sur le tétramorphe dans la saison de l'automne lors que ce dernier  n'en était point signe fixe au centre, amis second rôle en bout, ou manquait la moitié d'une constellation à remplacer.
(à suivre...)

La mise en place du nouvel axe de référence : Antarès du Scorpion (ce corps pion), Dragon (contigu tête), Eridan
avec un passage sur le point en symétrie axiale du pôle de l'écliptique par tête du dragon, et sur le centre de Cassiopée (Très Vents Canigó ?
Le linteau faisant face à l'ensemble du massif. aux trois sommets principaux..)
et un schéma type sur Céphée (triangle et trapèze diag..continue), une opposition classique Antarès-Aldébaran et entre les deux : les Pléiades

Page en cours d'élaboration et de restructuration en cours de l'année 2020
(Ce blog est récent : Fin Janvier 2020)


Gros plan nanti sur le triangle d'éTé :
Albiréo tête du Cygne et Altaïr tête de l'Aigle, dans le
 triangle d'éTé (parce que visible tous les soirs en été) ou
triangle des "T" en fonction des 4 "T" du palindrome saTor. 
L'axe des solstices de par la précession est allé dans l'anti-
quité de Deneb (queue du Cygne) en Vega de la Lyre.

Sirènes oiseaux
intéressant de considérer le mât du bateau
comme un axe de solstice

Tétramorphe de l'abbaye d'Arles sur Tech


Tityre, tu patulae recubans sub tegmine fagi
Silvestrem tenui musam meditaris avena...
Aigle et Cygne, constellations du sud de la
voie lactée, elles sont en forme de croix.
L'axe des solstices progresse de 1° d'arc tous
 les 72 ans sur l'écliptique (en bas à gauche)

Equinoxe de Printemps à gauche (EP)
et croissance du jour
Equinoxe d'Automne à droite (EA)
et croissance de la nuit.
Yin-Yang, croissance et dominance alternée
 jour-nuit : deux poissons, 
la croix cardinale ("+") reste fixe 
avec la disposition Blanc et Noir, 
seule la croix de St-André (en "x")
 et toile de fond tourne en sens horaire
 à raison de 1° pour 72 ans.


Les Antonins


Le N inversé

Deux anges sur le linteau en lecture ornementale comme métaphore de deux oiseaux tels un Cygne et un Aigle, les deux en forme de croix dans le ciel nocturne mais se dirigeant chacun parallèlement dans un sens opposé.
Séparés par l'axe des solstices en biais qui lui-même se déplace ici peu à peu du cygne vers l'aigle le long d'un segment Deneb-Véga, le Cygne (bec en Albiréo) volait en l'An Mil vers la droite du zodiaque (partie croissance de la nuit) et l'Aigle (bec en Altaïr) vers la gauche (partie croissance du jour).

Ainsi les "anges" sur le linteau ouvrent chacun de leur côté des notions sur les solstices (méridiens) et donc de facto sur les équinoxes (parallèles), lesquelles concerneront toujours le nouveau millénaire, et cette éclipse du printemps 1020 fut une aubaine pour une mise au point des connaissances tellement elle comportait de caractéristiques intéressantes en fonction d'une disposition initiale préexistante au début du christianisme, similaire mais ici actualisée : le parallèle à chiner.

Cette éclipse avec ses particularités était l'occasion pour l'église de Rome de pouvoir affirmer sa maîtrise intellectuelle d'une situation temporelle donnée et donc la crédibilité de son pouvoir spirituel par traduction sur un linteau rendu public de cette carte du ciel spécifique au point vernal (ou équinoxe) du printemps 1020.

En prime, la présentation de ces deux constellations "d'oiseaux" en croix sous forme d'anges constitue une allusion claire au Verseau qui fait suite aux Poissons dans la séquence des ères, sa représentation est celle de l'homme-ange, telle qu'on peut la trouver sur le tétramorphe de l'abbaye d'Arles sur Tech (où l'on trouve aussi les simiots).

Comme des Gémeaux séparés, comme un triangle d'été
paradoxalement coupé en deux par un vertical solstice
qui se déplace de DENEB en VEGA à déchoir Altaïr,
tels oiseau d'Air et Oiseau d'eau serpentant à l'ORdin-aire :
ROTBERTO et croix Tau, à en faire des pieds et des mains
pour entonner que ça tord le zodiaque comme les saisons...

Tant que les équinoxes seront au carré des solstices le monde tournera rond, cela semble être le message délivré par le LinTeau, cependant que chaque . La croix solstices-équinoxes se déplace en effet lentement mais sûrement et à ce jeu là c'est le Cygne qui gagne de par sa direction pour les signes en sens direct sur le zodiaque (sur plan habituel en projection du ciel, usuel) et pour la croix sostices-équinoxes en précession (en regardant la voûte en l'air) et mais l'Aigle dans la direction inverse gagne dans le sens rétrograde des signes et (rarement) direct de la croix, mais en plus il prend l'option de la précession nodale naturellement rétrograde et habituelle pour le potentiel écliptique.

Ainsi chacun des deux anges-oiseaux-oisons semble tirer chacun de son côté, mais le conflit d'intérêt du sens de rotation ne porte pas sur les mêmes critères, et le Cygne et l'Aigle deviennent les anges gardiens explicites chacun de leur côté de la marche directe ou rétrograde selon le cas (!) sans en faire un conflit de canard.
Cependant que Jupiter était rétrograde à cette époque de l'éclipse d'équinoxe du printemps 1020 comme pour affirmer avec Mars-Aigle les deux précessions.

Une autre opportunité plus graphique concerne Mars et Jupiter dans le rôle de ces anges-oiseaux-oisons : en effet l'An MIL détient un M comme Mars, un I comme Jupiter (autrefois le I et le J étaient confondus), et un L comme un triangle pythagoricien sans hypoténuse, une évocation du triangle dit d'éTé où figurent les constellations du Cygne et de l'Aigle. (Aigle milan, An Mil, signes, Cygne, Cène, Milan, et Léonard ultérieurement ?)
Remarquer également du même acabit que ce linteau est intégré à l'église Saint-MIcheL, qui a trait au Dragon, dont la constellation éponyme intègre le pôle de l'équateur céleste, et à cet endroit le L est bien séparé des M & I comme le triangle l'est des deux para-l'ailes.
Tout comme il est à noter que Jupiter-Cygne donne en initiales J-C, et Aigle-Mars donne AM comme âme.
Cercle étoiles polaires et constellation du Dragon
Saint-Michel, espéra ça* à Espéraza, pas razzia !
Carré-ment rond au droit,
comme l'écliptique et la croix
(voir ci-dessous)
Triangle d'été et accessoires : 
Carré et sceau de Saturne

En rouge le triangle d'été avec le segment Deneb (du Cygne) -Véga (de la Lyre)
En haut du triangle jaune en pointe : le centre de l'écliptique








Parfois les repères d'aujourd'hui peuvent aider à remonter le temps :
La croix solstices-équinoxes au XXI° siècle, un millénaire après le linteau, mais la voûte céleste n'aura que très peu changée, 
seulement certains repères se retrouvent décalés.
Le TAO ça tord le carré sATOr quand Saturne rond sans rompre
Secret de CAmée, secret de CAmail et de CAnaille comme au CAducée de MerCure ? :
Quatre siècles plus tard : la croix aux camées, prince trônant couronné par deux Victoires.
Aux têtes en l'ère qui veulent décrypter le linteau dans les textes ou dans l'aigle-lis : atterrissez sans risée, la solution à la hune ç'est dans la Lune...

Rives-altes, embarquement pour s'y taire : in the sky quand ça caille avec la langue des oisons, c'est l'âcre oie et Llabanère !
L'amère loi(e) du couvent sous le vent désastre(s) ?
Grippe avis erre et aire égotique de tout l'use jusqu'à l'os en abécéd'aire sangle An et levée d'alter-native : Boeing ou Airbus ?

Sandro Botticelli : La naissance de Vénus

(à suivre...)



ARCHIVES DE LA PAGE datant du tout-début du blog :
Faire parler le linteau...
Au centre du linteau, caput - cauda aviaire et avis ère en pare à l'aile (!) : Mars - Aigle à gauche, et Jupiter - Cygne à droite (et l'enlèvement de Ganymède dans les ganivelles ?).
Le personnage central vise avec sa main droite : Saturne en Verseau par l'index, Vénus en Poissons par le majeur, Mercure par le pouce entre les deux précédentes planètes et signes,
Jupiter en Vierge par l'annulaire et Mars en Bélier par l'auriculaire, seul ce dernier (Mars-Aigle) n'est pas dans l'axe mais cependant en-dessous de l'axe des équinoxes.
Par contre il tient dans sa main gauche orientée vers Mars (en Aigle), le carré Sator à 25 cases comme celui de Mars à 5x5, avec une évocation en X,
et à l'intérieur la possibilité d'inclure un carré plus petit comme celui de Saturne à 3x3, et 5 côté de Mars + 3 côté carré de Saturne = 8 carré de Mercure avec option diagonale,
avec 88 perles au centre pour évoquer le nombre de jours de la révolution sidérale de Mercure (Cas du C de Mercure : 2 serpents en 8 et 2 ailes).
Le grand cercle en haut simule l'équateur céleste, l'arc rajouté en bas évoque l'écliptique, il s'agissait de bien cerner la problématique céleste pour la carte du ciel de cette éclipse.
Cette partie centrale concerne aussi la Lune avec la précession nodale, voir page sur la Lune

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