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| Boîte de Pandore ou paon d'or pimpante s'ingénie sous le tympan de l'ingénue en vêtu en voilà  singe et nid défont aiNe ? Pssittt : le Pô en Italie et la Dordogne en France sont 2 références pour le 45° parallèle  |
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Le lit Eve-ère ou erre et l'Hathor tue, et défont aines ?
ÂnKh, technique du k du c, de cible
à viser recto dans un premier temps le Verseau et ensuite par la Lune en Scorpion du bas les Gémeaux |
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| L'étroitesse des trois du centre et pour cozze : CAs de surcharge cognitive volatile à l'harmonie conflictuelle de synthèse affublée et affabulée d'infamie des rotules taiseuses de lasse Sainte-Thèse d'une pitaya-ble Paranoïa Critique à l'acabit plus enclin à l'épice qu'au pâle :  |
- Qu'en remettant tout dans le bon ordre, vous trouverez OS-CA-R ou... le CHA-OS à la mi-écHelle de l'èRe, R&H comme dans RHône pour que ça Saône bien du L(y)on Marq-ué de la confluence où ça tord la plupart des arêtes (en l'ère) des Poissons ?
- Qu'un supplément vous sera prop-osé ou quand le Tau-lier du LiNteau passe à table(u)...
De surprenantes "co-incidences" : Lyon la ville & Lion le golfe, Roussillon le village & Roussillon la province (ainsi que la colline de la Croix - Rousse à Lyon), Arles au bord du Rhône & Arles-sur-Tech, qu'il faille Ly-re & Ly-on de R(h)ône à Lili(th) en douce heure d'anges vains au mont pas latin...
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| Caput - cauda tels des Gémeaux tête-bêche |
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| Ichthus |
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| Quand le personnage central du linteau s'ingénie à pointer dans le zodiaque à l'occasion d'une éclipse de Lune de sang d'équinoxe de printemps (à J-3) Main droite : Index à Saturne - Pouce à Mercure - Majeur à Vénus - Annulaire à Lune - Auriculaire à Jupiter / Cygne Main gauche : carré de Mars et palindrome SATOR dans la paume, et les cinq doigts ensemble pointent Mars /Aigle Le bas du personnage concernera la Lune pile à l'équinoxe et son infra-déclinaison pour un nouvel axe de référence, Lune qui à 15° Scorpion entre les pieds fera que la main droite pointera les Gémeaux, déjà visés ici en bas par le pied droit. |
C'est donc le personnage central, le Soleil et saigneur de cette Lune de sang d'éclipse qui indique la couleur de la distribution astrale d'un constant teint d'aurore en ce matin théorique d'une belle journée trois jours avant l'équinoxe de Printemps 1020.
Les extraits ci-dessous sont d'un décalage de deux heures environ avant l'éclipse pour mieux permettre certaines nuances de transits très courts (Surtout pour Mercure en limite, et Ascendant O° cardinal et PLS).
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| Le rOnd zodiacal est bien montré du doigt (majeur), accessoirement l'"R" (ère) est "pointé" par les deux doigts Repliés, il doit Rempiler |
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| En haut à gauche ce jour-là (3 jours avant l'équinoxe), léger décalage de deux heures en moins environ sur carte du haut pour obtenir une croix cardinale as-ds et surtout montrer Mercure en limite de signes |
L'index sur Saturne en Verseau (traduction : ça tourne vers l'ère du verseau)
Le majeur sur Vénus en Poissons (traduction : Vénus est cadrée dans l'ère des Poissons)
Le pouce levé entre les deux pointes Mercure en limite Poissons-Verseau comme un clin d'oeil fait par cet astre "neutre" en limite à l'ère du Verseau comme pour le pousser)
Vers le bas : (traduction : carrément sous la ceinture... équinoxiale)
L'annulaire vers la Lune (traduction : lune de sang en périgée comparable à une éclipse annulaire de soleil)
L'auriculaire vers Jupiter (Cygne) - (traduction : auriculaire comme "Reculèrent" (Jupiter est rétrograde sur la carte, et les 2 mouvements de précession aussi), auriculaire comme horrible (?) cul à l'air ou OR y cul à l'air (Deneb) et enfin OR y cul alaire (Cygne).
Manque donc ici Mars, mais il est visé aussi vers la bas par les cinq doigts de la main gauche qui tient le carré de Mars en chiffres alias le palindrome SATOR en lettres...
(traduction pour le bas : carré-ment sous la ceinture... équinoxiale, et après - par St Claude - c'est beaucoup plus hard avec l'Aigle, mais justement l'Aigle qui figurait autrefois sur le tétramorphe comme représentant l'automne avec le Taureau (printemps) le Lion (été) et le Verseau-Ange-Homme (hiver) est devenu le scorpion sur le zodiaque, calembour : Ce corps pion.
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| Le personnage central aux trois cercles (et aux doigts de pieds en éventail avec les deux pieds dans le même sabot ?) |
- en Bleu : le cercle des étoiles polaires ou de précession
- en Rouge : le zodiaque classique : Bélier à gauche et Poissons et Verseau au-dessus
- En vert : zodiaque spécial pour la Lune en Scorpion (à 15° en bas) à l'équinoxe jour J)
Mais dans un premier temps le cercle en vert indique l'arc de débordement maximum de l'écliptique sur l'équateur céleste en vertu de l'inclinaison des pôles, c'est également 'en vert) la notion d'un cercle lunaire au début d'une éclipse annulaire de soleil (rond rouge), une éclipse de lune de sang étant comparable à un éclipse annulaire de soleil.
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| Après R & O ci-dessus, un los-ange(s) annonce la couleur (pour l'aigle et le cygne) |
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| Le losange formé par le signe et l'aigle, la lyre et le pôle de l'écliptique |
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| Carré et sceau de Sat(o)urne, et los-ange(s) |
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| Linteau de Saint-Génis-des-Fontaines : ceci n'est pas une mandorle, ce sont deux cercles excentrés en vert le zodiaque à l'usage exclusif du Soleil en rouge le zodiaque à l'usage exclusif de la Lune et le jour même de l'équinoxe pour ce dernier |
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| Castor et Pollux |
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| Gémeaux et Orion (noter le vide sur l'écliptique entre Gémeaux et... Taureau) |
- 1°) Ils forment une double croix indissociable comme le cygne et l'aigle l'ont été pendant mille ans, presque un moitié d'ère.
- 2°) Cette double croix détermine une nouvelle direction à deux.
- 3°) Ils sont à même d'évoquer l'ancien los-ange repris imparfaitement par la Lyre,(et l'ét(h)ernel féminin ?)
- 4°) La métamorphose "C&A" de Cygne et Aigle et son chiffre d'à faire la métamorphose permettra d'aider les Gémeaux d'en face qui connaîtront (aussi) un vide en fin d'ère, comme le Sagittaire l'éTait hier et Théière.
5°) Le personnage central a un regard aux deux yeux qui permet d'ivoire plus clair comme dans du marbre de cas rare.
Tout ceci étant posé et déposé sur et autour le personnage central : les genoux (Je-Nous).
Aigle et Cygne sur les rotules et rôles TU, UTqueant REsonare fibris MIra gestorum..., UT est ruse, et muse hic de Lyre la gamme.
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par Guido d'Arezzo, Toscane orientale*** - ponte Buriano - à 7 arches
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Mais des deux Gémeaux Castor et Pollux où seul le second est initialement immortel, auxquels sont assimilés le Cygne et l'Aigle et aussi le Pôle de l'écliptique et le Pôle de l'équateur céleste dans le regard du personnage central alias la tête du Dragon ? Le biais des genoux du personnage l'indique (la ceinture d'Orion est elle aussi en biais, et ici c'est la diagonale d'Orion qui figure la séparation entre les Gémeaux :
- A gauche côté Etamin : Castor, l'Aigle, étoiles polaires futures.
- A droite côté Rastaban : Pollux, Cygne, Pôle (immuable) de l'écliptique.
Chacun des deux vantaux du portail représentera donc un des Gémeaux. Les deux anciens serviteurs de la précession : le gisant de l'Aigle à gauche et le gisant du Cygne à droite, les deux en penture centrale pour les temps anciens et désormais le portail reprend l'idée mixte des nouveaux Gémeaux à (2 en 1) : le Serpentaire noir et blanc. Le portail étant axé en Antarès.
Cependant le clin d'oeil à Orion présente cet avantage : c'est la constellation ,qui par excellence représente le mieux le phénomène de précession des équinoxes avec même une ceinture penchée, un peu comme l'axe des rotules du personnage central et les bras des Gémeaux...
Remarquer ci-dessous la similitude des alignements entre le nouvel axe et les deux autres associés avec la diagonale d'Orion et les Gémeaux (accessoirement pour ces derniers alignés avec Dénébola du Lion) :
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| Deux Mâts de référence à partir du Scorpion comme indiqué par le personnage central du linteau et passant par Ophiuchus et le Serpent: - A) Milieu de Scorpion-constellation, en Rouge, axé vers Mira et passant par le haut d'Ophiuchus, Véga de la Lyre, un bras du Cygne des origines du Christianisme qui servira un jour de repère d'Etoile polaire - B) Autre nouvel axe de référence aussi en Orange axé depuis Antarès, il passe : 1°) par le bas d'Ophiuchus puis le long du carré d'Hercule, 1bis°) le long de la tête du dragon côté Etamin, 2°) par Céphée (formant un triangle rectangle et un trapèze, conformes au paradoxe diag. continue pour moitié), et qui est la prochaine constellation à "recevoir" l'étoile polaire, 3°) par Cassiopée séparant en deux comme un massif de montagne, 4°) Se termine par l'Eridan. - c) Un autre axe à ajouter subsidiairement en troisième (en jaune) il va de début de Taureau à début de Scorpion.
Une similitude avec les trois cycles lunaires dévoilés à droite du linteau, et un gag en V à la clé : Mira, Antarès, Taureau = MAT, Mât, la déesse ou la barre de et mat comme aux échecs, mais également mieux : avec les deux axes de référence (en Rouge et en Orange) : à relier Mira et Antarès on obtient la diagonale d'un N qui n'est pas inversé(e). Le linteau met en scène deux axes lunaires.
Comme Antarès n'est pas au centre de la Constellation du Scorpion comme peut le suggérer le 15° Scorpion-signe avec le bas du personnage central, un autre alignement était nécessaire : Scorpion Véga de la Lyre, bras de Cygne future étoile polaire, Andromède et Mira.
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L'addition finale et son addiction au bouquet (de plumes) :
1°) Trois essen-tiels (au moins) :
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| Lyre antique, à lire avec un peu de bon sens muse y cale, luthier, à ta viole... |
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C + A = CA(s) duce |
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| Trois cercles excentrés + 2 rotules enrôlées en rôle Ut, en voeux-tu en vois-là sur bec-quilles |
2°) Trois super-flux (et d'autres au menu plus ordin'aire) :
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| Gémeaux,, cocher, Orion sous vide, et Licorne à la voi(x) lactée   |
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| Serpente ère de Yin et de Yang, Sator, rotas, Tao et Tilde vincible (Cassiopée et Milan, Tretzevents ou Puig de Tres Vents et massif du Canigó)  Lécythe représentant une Muse jouant de la cithare-berceau, musée Munich v. 430 av. J.-C. |
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Serpent et Cygne : voir zodiaque et voile acté persistant au caduc C |
Avec un point commun : la voie lactée...
- Deux constellations si proches en forme de croix :
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| Constellation du Cygne |
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| Constellation de l'Aigle Le Bec de l'Aigle est en Atlaïr, en haut |
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| Cygne et Aigle si proches dans le ciel, mais ne volant pas dans le même sens, l'aigle ici "monte" et le Cygne descend... Les deux sont en bout de voie lactée, divisée en deux en Deneb |
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| Castor et Pollux : Une double croix assortie d'un potentiel losange à droite, mais pour les rapporter directement au CAs du Cygne et de l'Aigle la barre transversale représenterait les ailes et les pattes de l'un seraient à la hauteur du bec de l'autre : Deneb et Altaïr : DA, diagonale pour bec à bec et pieds à pieds, d'autant que la voie lactée passe aux pieds des Gémeaux, venue de la Licorne. |
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| La croix double, les deux croix simples et la voie lactée (en blanc sfumato) Cliquer sur image pour agrandir |
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| Une autre perception des jambes de Pollux, comme des échasses... |
FAIM DE PAGODE ET FIN DE PAGE :
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| Lyre-isthme(s) et hallali à la Lyre en lecture à l'endos du Cygne et de l'Aigle : carapace sur échasses, caput-cauda draconis et serpentis, par Hermès - Mer.cure et le feu de Saint-Elme |
- Il se compose pour C & A de l'Aigle et du Cygne , comme d'anciens Gémeaux gisants :
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| A droite le gisant du Cygne, constellation qui a "servi" pour partie dans cette ère jusqu'en 1020, d'où la frise, mais le Cygne : l'eau et l'air (O&R) |
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| A gauche le gisant de l'Aigle, constellation qui aura bien servi cette ère jusqu'en 1020, avec une frise presque entièrement remplie, mais l'Aigle : l'air seulement ? Ou de Terre et de Feu comme Capricorne et Sagittaire... |
A remarquer les bras croisés des gisants en croix de Saint-André, en X des diagonales, pour indiquer le décalage avec la croix cardinale initiale +
- Il se compose pour O & S du Serpent et d'Ophiuchus : comme deux siamois à fusionner en un seul SerPentaire, échassier-rapace, é-cha-ssier Râ/PACE : Et C(h)As sierra PACE, ou Et chas sierra pace...
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| Le nouveau CA-lvaire en OSsature : Serpent et Ophiuchus à fusionner en SerPentaire et nouvel axe de la croix cardinale en Antarès : cas (à) lever de cale vair |
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| Sous l'oeil averti de Mercure et de son herméneutique fausse-ment sceptique |
C'est ce qu'expriment le linteau et toute la façade à Saint-Génis des Fontaines.
Tout ceci s'imposait dans le ciel : le SerPentaire constitué des deux constellations du Serpent et d'Ophiuchus était la suite logique en fin de voie lactée du Cygne et de l'Aigle (voir la carte céleste), outre la Lyre conservée momentanément en référence et qui passerait plus tard la main à Hercule dans son avancée, une Lyre ancienne qui concrétisait la réunion du Cygne et de l'Aigle en une seule OSsature.
Antarès du Scorpion, sous le Serpentaire était la seule étoile pertinente parce que très bien perceptible au plus près de l'écliptique mais de plus située dans l'alignement de la tête du dragon (et même plus) : c'était coup double.
Les nouvelles références étaient ainsi posées pour des siècles, voire deux millénaires...
 Ophiuchus - Serpent - Cygne - Aigle - èRe Vous avez trouvé OSCAR en facétie et en faces & cie ! (Recto-Verseau sine Mat à l'échec et à 8 facettes mercurielles) Restait le fait que le SerPentaire constitué du Serpent et d'Ophiuchus pouvaient de par leur(re) forme évoquer le Serpent et la Pomme de la légende biblique, ainsi que semble l'indiquer le personnage de Mercure qui semble bien se tenir d'un canine-goût de pré-molle ère avec un incisif mal... à dent ! Et qu'il lui a fallu s'y faire à l'aigle déchu*, et qu'il n'aimait pas trop le change-ment galopant ? Vous reprendrez bien un peu de carte du ciel : |
 En fait les deux zodiaques réunis comme le Cygne et l'Aigle en un seul Echassier-Rapace -initiales ER(e) à deux qualificatifs comme deux axes comme à jouter pour la Lune sur le linteau ou deux vantaux d'un deux portail sur la façade.  et zodiaque sidéral (autres couleurs, en x)
Et en allant voir les aigles de Valmy ou autres :
 Jour (blanc) - Nuit (noire) en un seul "support" tel le Cygne (blanc) et l'Aigle (noir) en un seul oiseau  |
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| Tortueux filigrane en vue à l'hégémonie |
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| Lyre antique, lire en tics et en filigrane : incrustée dans le personnage central du linteau rappelant un caprin cornu tel le Capricorne, autant que le bouc (et Miss ère ?) du pentagramme de Vénus |
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1020, ce kiffé 10 + 20 = TRENTE, que ça tord TENET en l'èRe pour la plupart des temps à venir...
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| Serpentaire, secrétaire, sagittaire, aux Vidéos... |
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| Gémeaux et diagonale d'Orion |
Manquerait plus pour les pentures du portail de la façade au clair-obscur sis que le Serpentaire prenne des couleurs au lieu de rester en noir et blanc et qu'il veuille se mettre au vert-portion en Ara-gon(d) que ça pourrait même poussiner un perroquet OK profilé pour Perpinyà fin XIII° s., à pondre la méridienne verte au XVII° :
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| L'Angelus et Lu Angels |
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| Camée de FIN DE PAGE Autres pages disponibles pour se camer, voir liste des pages en haut à gauche OU ALORS, POUR LES AMATEURS DE SENSATIONS FORTES :   ET ENCORE PLUS SULFUREUX le supplément prop-osé pour tout ce qui va suivre : Pour ceux qui veulent aller plus loin en archéoastronomie : |
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| Un premier triangle était tout à fait envisageable 2000 ans environ avant notre ère, incluant déjà le Cygne et l'Aigle sans la Lyre mais avec le Capricorne, à l'autre bout de cette constellation qui intéressera l'ère des Poissons. Son avantage ? Un alignement au Lion par Régulus (Sphinx), ou mieux : avec Deneb du Cygne et Denebola du Lion et au droit d'Orion (pyramides)... |
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| Sévèrement que s'avère de vertu O-Diable-v O-v-air |
De gros questionnements plausibles quant à un message secret du linteau en plus de l'actualisation présentée en 1020, surtout à remonter avant notre ère :
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| 9 lignes d'arêtes à gauche (18 arêtes) , suivi de trois lignes d'arêtes (6 arêtes) en décroché plus en haut, à droite. |
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De l'inédit... même dimension que la longueur linteau ! |
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| Un ancien triangle avec le Capricorne ? Dauphin au centre, Dos bleu vaut vair, Au diable vaut vair, OD viable vaut vair, Au di able vauvert |
Et ce n'est pas tout :
(à suivre...)
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| Lyon, Castellane, Perpignan, comme Lyre, Castor, Pollux, avec une inversion à la CLé pour le Cygne au cou en sillon rhodanien et un bec en Ca-M-argue |
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| Pouces-Index et Bergers-Lyre |
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