Cela semblerait être le cas pour deux de ses oeuvres majeures : la fresque de La Cène et le fameux tableau de la Joconde, puisque des indications figurant sur le linteau ont éTé reprises pour ces deux oeuvres-là au XV° siècle.
Mais commençons avec un peu d'humour torride par le portrait de droite où la Joconde s'ex-prime, ainsi que semble nous inviter à Lyre le linteau sous le manteau, car diantre de dragon sans tomber de voyelles en syllabes une langue qui fleurit sans élingues doit pouvoir être discourue haut la main en toute liberTé :
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| Le T décalé du titre est volontaire, le linteau l'exige 2 foi(s) : au milieu en haut et entouré de ronds rouge sur l'autre image, tout comme il apostrophe deux fois près du losange rouge. Pour qui se trompe singulière-ment dans les pl-Uriel-s en S ou En X et autres lissées nuances... Situ va pas à l'hagarde ère, la garde aire ira tatouée  (variété persistante grandiflora)* L'assis gale elle a four mis ? *  |
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| Tout ceci mis en clé de voûte du personnage central solaire sur le linteau, losange à gauche façon Lyre. Le O zodiacal en haut à gauche se retrouve divisé en deux en un B allongé à droite façon zodiaque coupé en deux à l'équinoxe, disposition que de Vinci reprendra sous forme d'un diacritique tilde (déjà évoqué ici avec le S dessous) inversé sur la fresque de la Cène, à Milan, qui est aussi le nom... d'un aigle, mille ans étant aussi celui du temps qui sépare ce linteau des origines du christianisme et dont il a pu fêter l'avènement avec cette éclipse particulière. |
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| Constellation de la Lyre à se gaver de lecture, paradoxalement ?  Tilde inversé façon la Cène (hauteur des personnages en fonction des deux tropiques, dessinés au sol à dr. et à g. voir plus bas)  est le centre du cercle de précession, son R'IChThUS est celui de l'ère des Poissons, le tout calé à la verticale sur Antarès  |
Il se trouve que sur le linteau a été déposée l'idée de tronquer les deux oiseaux pour une autre formule à l'avenir avec la constellation du serpent qui leur fait suite pour la direction tropique sud dans la précession (voir carte céleste tout en bas).
Cette constellation du serpent est située juste au-dessus de celle du sagittaire (s'agite ère) et surtout du scorpion. A remarquer que dans les tétramorphes il n'a jamais été question du Scorpion mais toujours à sa place de l'Aigle.
A remarquer aussi que la constellation du Serpent (avec celle d'Ophiuchus) est souvent appelée le serpentaire, en référence à un oiseau exotique tenant du rapace et de l'échassier (comme l'évoque le haut de la tapisserie de la Dame à la Licorne). Rapace et échassier substituts approximatifs d'Aigle et Cygne dans le bestiaire aviaire (avis ère), l'échassier étant indispensable comme un des deux composants du serpentaire.
Le fait d'avoir disposé cet arc de cercle supplémentaire en bas au centre sur le linteau pourrait avoir inspiré Léonard de Vinci pour le tableau de la Joconde, avec également l'auréole du personnage central comme cercle de précession (voir l'image "tatouée" de la Joconde ci-dessous).
Une objection sur le mot Genis ou Génis : il renvoie à génisse, et comment ne pas penser à Búri sur le tableau de la Joconde au ponte Buriano toscan (aux 7 arches), et pour couronner le tout Buriano à un R (ère) près pourrait avoir comme anagramme : Burro-Ria !
(à suivre...)
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| 500 ans plus tard, la Joconde tenait encore bien en main les trois cycles lunaires |
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| La Joconde : une carte du ciel d'éTé d'anticipation sur l'ère du Verseau |
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| La Cène, extrait : zoom sur les personnages (cliquer sur l'image pour agrandir), la hauteur des personnages reprend le profil du massif du Canigó (vu de la pl(a)ine) : Puig dels Tres Vents pour le personnage au centre, sans détresse pour le treize que l'on retrouve d'enluminure à chaque Bout : 13élier & 13alance, le V (5) se recentre en Vierge et Verseau, ce dernier outrepassant sa place par anticipation avec sa tête mais pas avec ses mains. Tracé des tropiques de chaque côté au droit des signes du Cancer et du Capricorne, LN 2/3, Léna, LEÑA. Sur l'original* le plafond est à 6 x 6 = 36 cases ou caissons , soit le carré du Soleil. |
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| Météo et pas le bas par là-bas : il ne peut y avoir de bas, il est caché par l'horizon au sud. |
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| On ne peut voir plus bas que le Scorpion car le sol se tisse de l'horizon  et sur l'Eridan, entre autres terrier du lièvre |
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| Pour l'ingé-nue qui ne L'ouvre pas aux muses et désastres sans soucis ni sourciller et qui ne manque pas d'air... |
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| Après ça le Monde entier est tatoué, enfin à aile(s)... jusqu'à en devenir un CActus (ou un CAc qu'a rente) |
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| Le T décalé du titre est volontaire, le vêTu l'exige deux foi(s) que ça Tord comme un bikini pour piscine à poissons, et pour qui se trompe singulière-ment dans les pl-Uriel-s en S ou En X et autres lissées nuances... Toute simili-étude avec le linteau serait for-truite ! (de chou vert, Georges, san(s) faire chou blanc) |
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| Caput - Cauda Draconis & Serpentis, poussés à l'éperon de procrastination... |
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| Q-ivre et vair de gris sur le qui-vive... |
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| Version enfarinée : La Joconde est une carte du ciel de soir d'éTé kiss Céphée-Persée à vue ? |
Et pour ceux qui voudraient p(o)ussivement pousser plus l'oint du pouce et index :
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| Pouce, Index = PI-rate |
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ET IN ARCADIA EGO V1 |
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