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Tel Janus à l'ivre où vert nalCA de l'os-ange envié qui S'inGénie effronTé au Colis fiché d'écliptique insidieusement au pas sage de l'An Mil :
Un linteau posé sous une voûte plein-cintre en 8 signes à l'outrepassant zodiacal de façade et mets sage ascète à l'avis d'obsolescence
des Cygne et Aigle au CAs ici sc-ellé de ces deux constellations si proches en forme de croix avisées aviaires à lavis Ere, représentées pour l'une optimisée par Jupiter qui L'aida de N'euf et l'autre par Mars au dé-shunté, désormais tout de(ux) go à Je-Nous sur les rotules sans l'ire, deux croix outrepassés en austral d'art mat-ure à l'horizon d'équinoxe, objet de l'éclipse de Lune de sang à Lyre, et d'avenir pointé d'Eri-dan à l'unir d'hune seule double tortueuse passant outre le tympan de l'entendement à la vue de Tous pour qui s'Agrippa d'un en corps bêlement
d'ouailles vernales ou vénales et que s'écliPSe en-cline de fe(i)nte tire-Lyre à quaraNt'aine séquen-tielle ! De près aide l'oint l'anachronique :
Cominus et Eminus, cas-Rê planétaires 3 à 9, Constante lunaire à 369, obscures ci-tel les Dioscures, Duo à locution clé : S'agite ère en bas...
Dalinien de la Rue Barbe qu'un POlygone CApitule ère VS CAle vair du line Tau car aussi doble Faux mal haut qu'ente Arès station périnéale,
ceci en avançant dans l'HIStoire à reculons : rétrogradation - régression où le passé ver-mil-lon est carré-ment à venir,
au tri-ph(r)asé orne-mental ex-pli-ca-tif des origines, façon entropie.
L'archéo-astro de la façade entière en cliquant ici*
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Timbre poste de 1976, calembour de facto-heurt : Singe et Nid défont aiNe ou de là font haine ? ci-dessus à gauche : axe PA-pe (apogée-périgée) et à dr : Pleine Lune GENIS, anagramme de SINGE et de SIGNE (extrait dame à la licorne, sol se tisse et tisserands, ultérieurement, XV°s.)
Motif de frise du linteau :
pouce mercuriel et doigts, l'ensemblealternativement en haut et bas : nœud nord & nœud sud (lunaires) Un pétase, ne pas confondre avec Pégase ni avec pétasse, ni avec pétarD, ni avec besace, ni avec besogne à l'ego de la canne c'est Mercure qui te cozze de la caboche comme du cas du C... Besace croûte de cuir Taupe (à remplacer une banne en osier ?) Grenat brut, gangue où roux |
Jeune Blog créé le 21 Janvier 2020 seulement. Gloria in Excel sise à GERBERT D'AURILLAC, PAPE de l'An Mil et 1° Pape Français sous le nom de SYLVESTRE II philosophe, mathématicien, astronome, mécanicien, savant. Et à Galileo Galilei... Ci-dessus le zodiaque de la croix occitane du Capitole à Toulouse (Capital CApitole qui ne CApitule, tout comme CAncer et CApricorne) |
Bienvenue à tous les visiteurs de ce blog consacré au génial linteau de Saint-Génis des Fontaines daté de 1020 d'après même ses indications écrites en façade et dont le Millénaire est fêté en cette année 2020. A cette occasion toute sa signification sera enfin dévoilée, déjà avec un avant-goût ci-dessus, c'est en tout CAs tiquant de candide cantique l'objet de ce blog quitte à devenir le référent ou le rêve errant (consternant ou pas) concernant ce linteau.
Le web-master de ce blog est un amateur d'astrologie depuis 25 ans et particulièrement d'archéoastronomie depuis 10 ans, une occupation culturelle de loisir qui consiste à déceler pourquoi et comment les astres du système solaire visibles à l'oeil nu depuis l'antiquité - ou des groupes d'astres établis en constellations - peuvent être représentés pour des raisons diverses et variées et à varier dans des sites mégalithiques, des œuvres d'art (architecture, sculptures, peintures) souvent à caractère religieux, à des époques diverses où l'humain aspirait à comprendre le fonctionnement du monde notamment à travers la quête de la connaissance des cycles planétaires comme étant des données de bon sens s'imposant au naturel à ériger ensuite en référents culturels d'une société primitive ou basiquement agraire à optimiser, voire les confirmer ultérieurement en structures d'élaboration économique et sociétale (façon Claude Lévi-Strauss) puis en paradigme des heures qu'on toise* où le cas se tord sans tort* épaulé du lux(e) des heurts de civilisation, ici en l'occurrence à l'occidentale.
Pour autant il arriva souvent et de tous temps que parmi les disciplines de sociabilité engagées par l'humain sans désastre que l'art (des astres ou non) fut aussi utilisé à des fins de protection et de dissimulation des informations ou des opinions, ce qui ne gâche rien en faît(e) dans les recherches et bien au contraire ça ajoute du charme surtout pour ceux qui, outre les carrosseries élégantes et intrigantes aiment la belle mécanique, céleste essentiellement* dans cette mytho-métonymie (!) d'un contenant-contenu ethno-astrologique. Cependant que dans le cas ici présent on s'en tiendra à des cohérences de développement qui n'envisageront pas de sens caché hors sujet astro direct même s'il en était ou étaye et donc à l'occasion simplement évoqués en bas de pages...
A laisser parler les constellations entre elles, avec les signes en renfort sans désastre(s), connaître la voûte céleste dans son ensemble comme une infinie cloche de verre où dialoguent deux luminaires et cinq planètes qui de là sem'aine buis'sonn'ière, l'humain se la joute et se l'ajoute modeste et contemplatif sans cesse devant tous ces repères qui s'offrent à lui(t) dans son repaire intuitif de lucioles ancestrales où l'imaginaire tam-bourine le réel au son des cymbales (!) silencieuses autant que sondées licencieuses au ass-hard mono-diète de Saint-Luc traduit (!) sur le bureau du has-been ou de l'ânesse-cécité telle l'astrologie, ce mot de démo en défaut de maux démoniaques et dépités du passé qui parle être à voir, et en l'occurrence pour ce blog-là quand ? Mais ici et main-tenant...
Ainsi deviennent passionnants les mystères entourant des sites mégalithiques comme Stonehenge ou Göbekli Tepe, en passant par les pyramides d'Egypte et autres lieux similaires sur la planète, les disques tels que ceux de Nebra, de Phaistos, le zodiaque de Denderah, des oeuvres sculptées comme celle qui nous intéresse ici à Saint-Génis, des peintures (comme celle de L.de Vinci notamment ou d'un Rigaud lot), des tapisseries comme celles de la Dame à la Licorne et toute architecture particulière en règle générale avec Chambord ou Lanleff par exemple, l'amère difficulté dans cet agréable exercice étant de jouer les sous-mariniers de l'écorce vive arborant pavillon bas-le-tard dans un chablis aux a-grumes (!) étalé sur des drageons d'amandiers où je m'endors là (!) de paré âge (!).
En Occident tous ces mystères relèvent la plupart du temps du paléo-christianisme, souvent avec des points communs récurrents : en premier lieu la constante de la précession des équinoxes, suivi de la phénoménologie totémique supposée exclusivement féminine des différents cycles lunaires plus ou moins associés à draguer l'axe du dragon sur le potentiel (!) écliptique et enfin la notion de parallèle (!) Mars-Jupiter ou leur horizontalité graphique, le tout accompagné la plupart du tant (!) d'un schéma sexuel éther-haut souvent et pragmatiquement convenu, le secteur "automne" du zodiaque étant romanesquement très visé (!) comme labellisé de "Ce corps pion" en sexualité, et c'est le cas avec la Dame à la Licorne, à Chambord et ici à Saint-Génis. Certes était-ce là l'éclectique (!) freudisme avant l'heure, reconnu avec ou sans Mars et Vénus d'un acabit de représentation spé-culée où l'alchimie génitale du couple parental cosmique Soleil-Lune se pré-posait obligeant, chaque époque ayant pris son inspiration dans le ciel pour s'ex-primer avec des empirismes artistico-exotiques astiqués sans écarter l'épate grivoise et provoquée sur des concepts séquentiels (!) en ce dom'aine.
Pratiquer l'archéoastronomie ou paléoastronomie avec des connaissances astrologiques consistantes assorties du réflexe anthropologique adéquat c'est comparable à élever des concepts naturels dans une dimension culturelle à l'aide d'un drone à perforer le métaphorique en rentrant à fond dans le sujet, et en étant épaulé d'un rapport épidermique à celui-ci avec une lecture ornementale des oeuvres auscultées, le tout agrémenté de recherches accessoires en mythologie antique (du moins gréco-romaine) et dans un contexte figuratif... plus que dans les ennuyeux textes !
La voûte céleste a une histoire qui raconte et fixe l'histoire des hommes depuis très longtemps...
Tant et si bien qu'avoir de beaux mystères à contempler c'est agréable, s'amuser à chercher c'est pas mal non plus, mais arriver à trouver c'est quand même nette-ment mieux et sans que ça torde l'esprit. Et cela semble être le cas pour ce linteau qui se dévoile sur ce blog en invitant tous les visiteurs à apprécier (ou pas) de quoi il s'agit, de la jeune aise des trilogies borroméennes à la genèse ascète (!) et synchrone en diatribe d'une paradoxale harmonie de l'espace et du temps où il faut accepter que l'ami temps exulté en croix gyre dans l'espace des cercles d'une coupole où gisent activement les constellations.
En haut de la colonne de gauche sont à votre disposition de nombreuses pages actuelles et à venir répertoriées sur ce blog en cours de création, il suffit de cliquer sur un titre pour accéder à son contenu. De la même façon il est parfois mis en bas de page des documents annexes qui peuvent avoir un rapport avec le linteau ou la façade en entier.
Bonne visite à tous les lecteurs...
Un conseil : Si vous trouvez à juste titre que le ton de ce blog est pompeux, alambiqué, pédant, surréaliste, tordu et prétentieux alors achetez-vous un cerveau en kit chez Gifi-la pacotille ou bien faites comme moi : contentez vous de regarder les images, elles sont faites de lecture ornementale assistée de commentaires adéquats tels que vous en apprendrez largement autant (en An porte l'évent). Reste une troisième option pour tout piger : celle de se secouer beaucoup les méninges et d'ouvrir son esprit à 360° et sans les œillères habituelles menant aux stéréotypes convenus et autres raccourcis ordinaires car ce blog n'est pas facile...
P.S. : Il peut-être fait état ou de liens dans cette "enquête" sur le linteau d'éléments pouvant être retrouvés dans d'autres "affaires", qu'elles soient antérieures ou postérieures à cette date de 1020. Il ne s'agit en aucun cas d'anachronismes mais de parallèles logiques à établir façon archéoastronomie (complétude des données répertoriées : chaque découverte étayant, confortant et enrichissant toutes les autres par interaction de façon non-chronologique ou/et de procédure séquentielle présumée acausale mais toujours avec cette immense focale de base : la voûte céleste).
Sceau de Carolus Magnus (Charlemagne) et K du cède Mercure en l'èRe par Soleil-Lune : carreau-linge-(l)ien...au los-ange(s) ------------------------------------------------------------------------------------- |
Croix Ânhk au cas levé option Capricorne trop piquant et triste où haut l'oint S'a-gîte ère au viDe métamorphique, agile, tortueux, simiesque : +ANNOVIDESIMOQUARTO... Ovide au vide plutôt que novice au vice & au quart De tour ? |
Où quand Saint-Michel
s'ingénie au Dragon
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C'est ici comme pour la statue de la Liberté à N-Y., elle n'est pas gonflée à l'hélium comme un ballon de baudruche mais contient des superstructures importantes qui assurent sa solidité |
En effet si ce linteau avait pour but à l'époque de faire le point astronomico-astrologique de la croix cardinale composée des barres solstices-équinoxes par et avec l'Eglise dans le nouveau millénaire qui débutait avec l'An Mil, cela a été effectué remarquablement tel un challenge :
Une date avait été choisie en fonction de données astrales spécifiques proposées par un ciel d'éclipse de Super Lune de sang trois jours avant l'équinoxe du Printemps 1020 parce que présentant effectivement un cocktail astral extraordinaire pour justifier du pointu de la connaissance céleste des religieux dans le suivi spatio-temporel de la croix avec ses axes qui s'avèrent fixes entre eux et sur le cercle affublé des 12 signes de l'écliptique zodiacale mais évolutifs de lenteur sur la toile de fond que constitue la voûte céleste avec ses constellations***, un ensemble mouvant qui nécessitait d'être actualisé de temps à autre, à en prendre date et ici le mémoriser à valeur remarquable car très explicite dans la continuité du système, un magnifique et pertinent "instantané" céleste à quatre fonctions conjuguées : équinoxe 1020 (divin dix-vingt) + pleine lune + périgée + éclipse, et qui plus est accessoirement avec tout ceci dans un cycle solaire de 365 jours à 13 Pleines Lunes (V° fonction, graalesque !), soit donc à l'ensemble des 5 un Cas rare et opportun à graver dans le marbre pour l'éternité sans l'éther-nuitée à la faveur d'une plus grande mise à jour de l'indice pensable au pied levé d'armature, une actualisation si élaborée qu'elle permettait d'instaurer de nouvelles références astrales objet de ce linteau explicite pour qui savait Lyre de lecture ornementale avec la façade entière comme partie prenante à l'opération.
Anima Mundi
2 & 1 font 21, Le Monde,
anagramme le Démon ?
Taureau de Luc,
Lion de Marc,
Aigle de Jean,
Homme-Ange de Matthieu
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Car le deuxième effet qui se coule dans cette oeuvre a été d'y adjoindre des précisions à date même du jour de l'équinoxe, tout en répartissant des infos lunaires*** et autres subtilités jusque sur la frise et pas des moindres. Accessoirement d'autres dispositions astrales venaient étayer cette démonstration de force, le concepteur ou commanditaire de ce linteau avait eu le nez très fin d'argumentaire en Lune ecclésiastique* avec l'opportunité céleste qui se présentait à répertorier cette nouvelle mouture du référen-tiel astral comme paradigme d'un zodiacal best-hier qu'on pût* le distancier à demi-mot admis à Demi-moi(s) des instances de l'anneau pascal.
Ce linteau intégré à l'église Saint-Michel trouve donc dans ce nom toute sa justification intrinsèque avec les deux aspects évolutifs du Dragon évoqués et déjà pointés d'astérisques et périls ci-dessus, issus respectivement du CAs de la Constellation* et de l'Axe* éponymes.
La forme rectangulaire de ce linteau n'est pas innocente mais bien structurelle de circonstance, et cela révèle l'instauration d'une cabale chrétienne du temps de Gerbert d'Aurillac (le Pape français Sylvestre II de l'An Mil, astronome-astrologue et mathématicien, dont l'ombre plane sur ce linteau), ce sera développé au cours des pages de ce blog.
Ce qui fait de cette sculpture sur marbre une oeuvre extraordinaire et esthétique à la foi(s) de bon sens, de calculs, de précision d'expression astrale et artistique, une merveille de créativité conformiste assortie d'une subtilité extraordinaire, un témoignage surprenant sur les connaissances avancées à l'époque de sa conception (à moins que ce soit notre société contemporaine qui en ait quelque peu oublié les fonda-mentaux !?).
Merci à ceux qui ont créé cette oeuvre sculptée à ausculter ...
Cryptex de zook-machine et mécanique céleste du zodiaque : Appel paumé aux Géni(e)s en V lettres, c'est le pied (d’œuvre, sur ter(re), du mûr et au mur amère cure) ! |
Et pour temps ça turne over... IO s'ingénie génisse, fille pérenne de Pirène ou Péiréné et cryogénie du mythe ? Canigó, Cassiopée... et Diogène de Sinope IO et phi ou zodiaque et axe des solstices (seulement ?)
Vair petit-gris de Russie en fourrure d'hiver,
au ventre blanc et au dos gris-bleutéVerre i-cône, coq-tel pour la soif et la fin parce que ça saros... Et panser à boire de L'O sous un soleil de PloMB... (Cotyle est don) Masque de quart-navale ou des arts premiers ou Pu-n'aiSe de feu ? Papillon ou libellule au Monastir del Camp |
Boussole, aiguille en los-ange allongé
Lyre antique grecque ascète corde(s)
et coque ou cas-rapace de tortue
à échasses au lire isthmes ?
Sagittarius, mangeur de serpents,
façon Yin-Yang, Ouroboros
à corroborer de la paume cas récente
que le chic y est de contraste et décontracté over-contact ? Constellation de la Lyre Come il sexo feminino ? Véga telle un gemme haut ? Lyre de forme si proche du losange et de la mandorle : Sexe "fait mine un" Chambord, double escalier avec ouvertures en forme de lyre donnant sur le puits central (éclairage a centre) Bouvier, Libra, Virgo, le sacrifice : poignard Bichon maltaiS et autel (ara) façon cheval d'arçons (Licorne) |
Un exemple type (qui ne concerne pas le linteau) avec le calembour Céphée-Persée, du nom de deux constellations, c'est leste (et y'a bien pire et plus cru à en croire les métaphores célestes du cru).
Sur le linteau il semble bien que c'est plus la géni-t-alité qui soit de mise, au titre d'une régression...
Los-ange laisse en calli-graphie fort nid fournie à Lyre sous le manTeau sur le linteau : EROGENE... |
De même la langue des oisons (type médiévale) sera utilisée et pour cause, déjà avec deux personnages "aviaires" qui s'avisèrent à l'avis Ere, le linteau annonce la couleur. Et de fait notre vocabulaire moderne est constitué de pas mal de calembours validés (va l'idée) dans les valises désormais standardisées du langage ordinaire, autant que d'anagrammo-phonologie assimilée.
AVERTISSEMENT N° 3 : Il est fortement conseillé de se renseigner sur internet à propos de la notion de précession (des équinoxes, et lunaire), c'est un fondamental culturel que peu connaissent et qui concerne directement les sujets du linteau et le dragon de Saint-Michel, c'est également un thème récurrent depuis des millénaires, et pour cause : la preuve de son importance...
Et c'est là le Prince si pâle, mais accessoirement pour aller au bout d'une bonne compréhension du linteau, quelques liens pêle-mêle à propos de :
- Le triangle d'été - Le mythe de Léda et le Cygne - Castor et Pollux, et leur représentation céleste en constellation - Tout ce qui concerne la Lyre, antique surtout - Mercure et son caducée, et son "ancêtre" Hermès - La déesse égyptienne Hathor - Les cycles lunaires : synodique (mois), anomalistique (Ap-Pé), nodal (éclipses), la notion de Saros - Les carrés planétaires - La diagonale du carré et sa projection , le nombre d'or - Le paradoxe de la diagonale continue, du 8x8 mercuriel et carré au 5x13 rectangulaire martien et lunaire (et du symptôme de Fibonacci avant l'heure) -
La déesse égyptienne Hathor arraisonnée :
Elle pouvait être représentée comme une
vache ou une femme ou forme humaine portant
une couronne à cornes encadrant l'astre solaire.
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IO et X voûté au Monastir del Camp (rajout annexe à l'église)
Poulpe à régner ?
(Blanchefort)
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Explications pour mieux comprendre le linteau :
Au début de notre ère, c'est à dire en l'An Zéro de l'Ere des Poissons, il fut enregistré-mémorisé avec beaucoup de bon sens un instantané de référence de la croix cardinale dans la voûte céleste sur des bases tropiques et d'équinoxes :
- Les équinoxes ont comme lieux attribués des bras de la croix : la Vierge d'un côté et les Poissons de l'autre, pour ce dernier il est question de point vernal qui donne le nom l'ère des Poissons. Ces points sont situés en bout des constellations ainsi nommées et nominées (soit en fin de signe), puisqu'il y avait initialement corrélation entre constellations et signes.
- Les solstices ont aussi eu leurs lieux d'attribution à chaque extrémité du mât de la croix : au nord la constellation du Cancer, en bout de constellation et fin de signe en relation avec le tropique éponyme qui prit le nom de la constellation en question, et au sud : la constellation du Capricorne toujours même principe : en bout de constellation et fin de signe en relation avec le tropique éponyme, s'agissant du sud c'est ici la plus grande branche de la croix parce qu'au plus loin de l'étoile polaire, cette branche est donc la plus longue puisque bénéficiant de la différence entre étoile polaire et zénith, inversement pour la partie supérieure côté tropique du Cancer (inclinaison des pôles).
- C'est la constellation du Capricorne et en l'occurrence qu'a pris mât de la croix cardinale sur son socle, lequel et ça tombe bien a la forme d'une barque, il est à considérer que si elle va rester en place son homologue éponyme en signe va effectuer le voyage dans les signes le précédant du fait du mouvement naturellement rétrograde du phénomène de précession.
- Ainsi en l'an 1020 le mât (du signe du Capricorne et tropique éponyme) avait parcouru presque la moitié du signe précédent du Sagittaire avec des péripéties que le linteau relate surtout à l'occasion de nouvelles références à instaurer.
- A notre époque en 2020 le mât arrive au bout du signe du Sagittaire (voir la deuxième carte plus bas avec la croix cardinale).
- Concernant le linteau l'image ici à droite autant que sa légende est d'importance pour sa compréhension, au moins de la partie centrale, laquelle évoque plus de 40° de voyage sur l'écliptique, autant que de degrés dans chacune des constellations des Poissons et de la Vierge, constellations initiales d'équinoxes en précession, au carré du Capricorne.
- Le point vernal est en Bélier, soit, mais c'est un Caprin (le signe du Capricorne) qui fait naviguer le socle de la croix et donc l'ensemble dans cette lente précession sur l'écliptique, un caprin qui évoque une sirène (d'eau - O - ou d'air - R - ?).
Indice pensable de visualiser la carte de la voûte céleste quitte à la mémoriser, du moins la moitié hémisphère nord qui peut faire parler l'antiquité, le moyen-âge et la période dite moderne, mais moins la période dite contemporaine depuis le siècle des lumières (!) => en même temps le jour on ne la voit pas cette voûte), l'autre carte plus bas avec la croix donne la position à notre époque.
Ciel actuel (en fonction du positionnement actuel de l'étoile polaire) de l'hémisphère nord, où l'on visualise ici les deux cercles excentrés : écliptique (course apparente du soleil) et équateur céleste (avec l'axe des pôles), ils permettent de mieux appréhender la partie centrale du linteau (voir aussi ci-dessous). L'étoile polaire est le centre de l'équateur céleste variable tandis que l'écliptique ne varie pas ou infiniment peu, c'est la course apparente du soleil perçue depuis la Terre.
Les équinoxes se situent aux intersections de ces deux cercles, ici planifiés en constellations et non en signes égaux.
Le grand cercle extérieur (en blanc) sert aux calculs et visualisations, ici géométrie à 365 ° comme autant de jours dans l'année.
C'est aussi une machine approximative à remonter le temps avec 1° pour 72 ans.
Un conseil : adopter la technique d'accoudoir(s) (façon L.de Vinci) dans la constellation du dragon + petite ourse pour avoir les deux centres de cercles dans la période actuelle.
Escarboucle, grenat, et deux cercles excentrés comme dans l'image au-dessus, puis l'ovale un peu comme une ca-rapace de tortue ? |
Constellations du Dragon et de la Petite Ourse
au plus haut dans le ciel sous nos latitudes,
le bas est dirigé vers Antarès du Scorpion, bien visibles dans le ciel d'été... DracO |
Positionnement actuel de la croix des axes de solstices (en rouge) et d'équinoxes (en jaune), zodiaque tropique (écliptique). On voit bien ici que les équinoxes (jaune) se situent aux intersections de ces deux cercles excentrés dont le centre de l'un est l'étoile polaire (axe des pôles, incliné à 23°27' par obliquité de la planète Terre), et l'autre le zénith de la coupole au-dessus de nos têtes dit pôle de l'écliptique. Initialement au début de l'ère des Poissons, les solstices étaient axés Cancer - Capricorne (à tracer ici en biais), ils ont donné leurs noms aux tropiques. Remarquer en bas l'arc de débordement maximum de l'écliptique sur l'équateur céleste et à la façon envisagée il y a Mille ans dans la partie centrale du linteau de l'autre côté de la constellation du Sagittaire que celle pointée par l'axe actuel en rouge.
La croix cardinale ainsi obtenue par décalage du centre est admissible aux proportions de 4 pour chacun des bras, et 3 pour le haut, 5 pour le bas, voir par la suite pour l'utilité de la formule sur un 8 x 8.
L'aigle (un cas de rapace) a fait pendant mille ans fonction de substitut au vide(*) stellaire entre Capricorne et Sagittaire, d'où sa présence en bas à gauche du personnage central sur le linteau.
N.B.: Repérer particulièrement le segment Deneb (queue du Cygne) à Véga de la Lyre, il forme un triangle presque rectangle et presque isocèle (mais ni l'un ni l'autre véritablement) avec le pôle de l'écliptique (en mieux ci-dessous à droite), de l'autre côté il forme un avec Altaïr (le bec de l'Aigle), un triangle néo-pythagoricien tendance isocèle, avec un deuxième triangle formé par symétrie (imparfaite) vers le dragon, les deux triangles associés formant tune sorte de losange, une disposition que l'on retrouve en réduction avec la constellation de la Lyre.
Rétrogradation de précession et régression : retour aux origines...
Autant que 1020 indique pour 10 l'unité et 20 un double : les Gémeaux.
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De gauche à droite, constellations : Dragon, Petite Ourse, Grande Ourse, Case rôle, casse rôle et casseroles : K ce rôle... |
Dragon, Petite Ourse et Etoile polaire actuelle |
Référence Antarès (ente Arès)
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A droite, le Pôle de l'écliptique en un point rouge, au centre du cercle que forment les étoiles polaires au fil du temps, actuellement celle de référence est située en bout de queue de la constellation de la petite ourse (ou est indiqué l'An 2000).
La constellation du Dragon (reprise ensuite avec Saint-Michel dans le référentiel chrétien) est donc hyper concernée par la précession. A gauche le cercle des étoiles polaires passe par une aile du Cygne. Pour info en bas sous le +14.000 de la course de l'étoile polaire : Véga de la Lyre (qui intéressera ultérieurement la Dame à la Licorne pour une autre raison, avec la boîte à bijoux sur la tapisserie).
Tête du personnage central |
Annonçant ainsi la couleur : c'est de la précession des équinoxes dont il s'agit principalement sur le linteau.
Comme on le visualise à droite, l'étoile polaire et le pôle de l'écliptique sont présentés la plupart du temps verticalement pour conceptualiser l'axe des solstices. Ainsi peut-on prévoir que dans les siècles qui suivront l'An 5000 la tête du Dragon sera verticale, et que entre 11.000 et 12.000 l'étoile polaire sera calée sur une aile du cygne, tout comme vers -10.000 avant notre ère (des Poissons), elle était calée sur un des bras d'Hercule (comme"elle recule").
Ci-dessus linteau-astro avec les 7 astres de Septénaire et les 2 axes lunaires, et ci-dessous avec les 3 constellations du triangle d'été objet de modifications : |
Les 9 personnages du linteau avec la Carte du ciel d'éclipse de Lune de sang trois jours avant l'équinoxe du printemps 1020 :
La distribution des personnages sur le linteau est inspirée directement de cette carte du ciel, la répartition est conforme pour chaque quart de cercle afférant à chaque saison.
Le quart de cercle "automne" ne contient pas d'astre, il sera repris en bas entre les "oiseaux" (Aigle et Cygne) avec cet arc ajouté sous les pieds du personnage central pour une perspective lunaire créant une nouvelle base de référence, remplaçant le premier usage de cet ajout pour le décalage entre équateur céleste et écliptique.
Calcul effectué sur les bases actuelles en calendrier Grégorien, ce qui ne change rien quant à la carte et à l'équinoxe. |
Et quand le personnage central (Soleil) se la joue directionnel et semble affirmer qu'il tient très bien les chausses en main(s) en distribuant les astres avec les doigts suivant la carte avec les deux pieds dans le même sabot et que Sator les chevilles (surtout avec les doigts de pieds en évent-ail), déjà des diagonales pour le bas et double peine née en haut et duo où ça t(o)urne(ra) de vers-eau en gém-eaux :
Index et Majeur aussi sur le gisant du cygne M & I formant la première syllabe de (St)-Michel L'assis gale elle la fourre Mi... |
Hors linteau à gauche de l'entrée : le gisant de l'Aigle, ailes ou bras en croix repliés en X de diagonales Impitoyable ouverture, jaunasse, Jonas et là-bas l'aiNe en noir et blanc Selenicereus est un genre botanique de la famille des Cactaceae. C'est le genre des « Cierge de Sélène », du grec Séléné, déesse grecque de la Lune et Cereus, « cierge » en référence à l’ouverture nocturne des fleurs. Comme un Négatif de la voie lactée que la chair du fruit à l'intérieur... Jonas et la Baleine et l'évent... La Baleine est aussi une constellation Baleine - Cetus, constellation |
Chacune de ces deux constellation aviaires en forme de croix a son sens de "vol" et chacune est considérée comme arrivée et à river, ainsi en bout de course l'Aigle-Mars se retrouve à gauche et le Cygne-Jupiter se retrouve à droite, comme sur la carte de l'éclipse, tous les deux sont voués à une grande métamorphose régressive : re-devenir des Gémeaux en Lyre après l'étape du vide stellaire pendant le premier millénaire et en l'An Mil c'éTait hier (!) du Sagittaire. Mais ces deux oiseaux qui ne vont pas dans le même sens sur le zodiaque et qu'ils s'éclipsent réunis en Gémeaux tels Castor & Pollux dans seule constellation n'en cacheraient-ils pas un super troisième en œuf constitué d'un peu des deux dans ces métamorphoses d'au vide ? Car remonter à la constellation des Gémeaux c'est remonter la voie lactée, (retour à l'uniTé), pour mieux redescendre unis là où elle se divise en deux ?
Dia-pa-son : pour qui sonne le La ? Chrisme du portail de l'église à Puigcerdà (Cerdagne espagnole) Manquerait un axe équatorial horizontal pour une escarboucle ? |
Carapace de tortue ou Cas rapace d'Hathor tue ? Ba Gua, bague au doigt et à l'Oeil... |
Ophiuchus & Serpent : une CAfetière ? |
Pourquoi cette carte particulièrement ?
Parce qu'elle présente certains avantages :
- Les planètes son groupées autour de l'équateur ou du moins la ligne de partage Austral-Boréal de l'axe des équinoxes.
- C'est un jour d'éclipse de Lune de Périgée (Lune rousse dite aussi de Sang) au plus près de l'équateur et de l'équinoxe de printemps (en 1020)
- Mercure est en limite Poissons-Verseau pour la notion d'ère.
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Carte réalisée avec un logiciel Auréas-informatique utilisé depuis 25 ans |
Calcul sur les bases du calendrier Grégorien (actuel) auquel il faudrait ajouter 10 jours pour être en conformité avec le calendrier Julien en vigueur en l'An 1020.
Déjà la forme rectangulaire du linteau suggère une horizontalité toute équatoriale, c'est le cas pour cette éclipse qui se produit en secteur équinoxe de printemps, à gauche le soleil, la lune noire ou apogée lunaire et le noeud lunaire nord, et à droite la pleine lune, la queue de lune noire et le noeud lunaire sud.
Egalement sur la partie gauche : Saturne en début de Verseau, Mercure limite Verseau-Poissons à 0° Poissons et Vénus en début de Poissons, Mars en-dessous de l'axe PL en Bélier, et sur la partie droite : Jupiter rétrograde en Vierge, également sous l'axe des équinoxes.
Mars et Jupiter étaient axés aux équinoxes à la naissance du christianisme et Soleil et Lune (aux 3 axes) aux solstices, une disposition dont procède le palindrome SATOR avec ses 4"T" tout en étant connecté culturellement à l'Extrême Orient (Tao), ainsi que l'ère des Poissons (Yin-Yang).
A noter pour la partie gauche Saturne-Vénus-Mercure: initiales SVM, SUM et pour la partie centrale Soleil-Jupiter-Mars, initiales SJM, SIM, comme dans simiots ?
Calcul informatique avec le calendrier Grégorien (en usage depuis 1582) :
Egalement les deux planètes de la féminité se retrouvent au centre des groupes de trois de chaque côté : Vénus au centre à gauche et Lune (Pleine Lune) au centre à droite, et 3 groupes de trois personnages pour un total de 9, ce n'est pas sans rappeler le nombre 39, diviseur commun à Mars, Vénus, Lune. Les chiffres 3 & 9 étant également les numérotations des carrés magiques de Saturne (3) à Lune (9), à l'intérieur desquels s'inscrivent les autres astres su septénaire de l'antiquité.
Le nombre 273 lié à la Lune et à la durée de la gestation humaine (39 semaines de 7 jours = 273 j) est signifié aussi sur le linteau en 2,7,3 : 2 personnages inclinés, 7 personnages droits (dont 1 assis), en 3 groupes de trois dont un groupe concernant la Lune).
(à suivre...) (
A suivre pour les Ides de Mars et la même carte en calendrier Julien, vérifications en cours :
La même carte en calendrier Julien, en vigueur en 1020, trois jours avant l'équinoxe du 15 Mars, cette année-là le jour des ides de Mars et qui plus est un mardi... (IDIOMArS : I.D. IO. MArS) Fomalhaut - Antarès et clé de FA(tum) : Sur le linteau |
Tous les éléments de la façade subliment l'astronomie de l'époque c'est à dire l'astrologie :
Le gisant du Cygne à droite du proche d'entrée sublime les quatre éléments |
Et in art cadi y'a égaux, et in art cadi y'a egg O (et in art cadi y'a aigues O ?) Le Tao exprime au mieux cette pertinence de relation d'opposition différen-tielle du rapport en jeu de croissance et de dominance des durées respectives du jour et de la nuit entre les solstices. La croissance entre les solstice accède à la dominance aux équinoxes
Qu'un 101 pur à breu vœu noces y ont ?
Capricorne en haut : avancer d'un demi-tout de cercle est possible pour Capricorne en bas et adéquation sexuée (g-d) au gisant du cygne4 éléments dont 3 états de la matière, 4 éléments dont 3 couleurs primaires : Losange infernal de quart n'avale en vernal (8 & 18 au centre du 5 x 5 et contre-vair, ère mine ?) : la diagonale du Verseau en point vernal, l'esprit en-vers ou devers la matière... Ara-gon(d) ou Papillon ? Non populus, sed imago populi et palatina plebecula (bizarre Byzance)... Albata -Veneta Prasina - Russea Sceau de Charlemagne |
Un des côtés (Est) du clocher est différent Cloître de Saint Génis des Fontaines |
Toute la façade de l'entrée Saint Génis des Fontaines |
A Lyre sur le linteau, et dans cette surdité des arcades sources hier à absoudre l'absurde et à effleurer les arts buste(s) au gémellaire : |
Des Gémeaux au Serpentaire et réci-proquement... |
Camée de fin de page
De nombreuses autres pages à disposition pour se camer,
sur la marge en haut à gauche.
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Canal façon jardins de Vaux-le-Vicomte où la course du Capricorne au Sol se tisse Must est l'idée quantile hope n'y gère celui qu'a pris corne(s) au serrement d'Hippocrade |
Annexes :
De 25 cases à la constante 65 de Mars au hui(t) clos à 5 x 13 (= 8² + 1) Remarquer la transversale 11-12-13-14-15 devenue diagonale, aux extrêmes 11 et 15, total 26 comme un alphabet à 2 x 13... En haut à droite sur le carré de Mars 8+ 18 = 26 en évocation du passage à 26 (lettres) ou les 26.000 ans de la Grande Année Platonicienne, et comme les compléments à 26 en symétrie centrale sur le carré de 5, le carré de 8 étant séparé de 18 par le 13 central, évoquant l'autre diagonale où 18 est le symétrique de 81, carré de 9 et de la Lune... Noter que du + au x, les nombres restent en place sur les diagonales. SYMETRIE DES FINALES AXEE SUR DIAGONALE, où 1+2+3+4+5 = 15 et 5 x 1=5 (39 Mars-Vénus), l'autre diagonale provoque un 3 V 8 de symétrie pour les 3 premiers personnages, le tout existant en + sur le carré naturel initial MARS-JUPITER en ARIES-VIRGO respectivement à 11 et 15, et pour 12+13+14 = 39 (autant que 8+13+18), soit 2x ENE (aine) en X |
T O P O T
A E R E A
R S N S R
A E R E A
T O P O T
Topot et Teapot
Remarquer les deux "ARA" apparaissant en vert-ical sur les flancs du carré
suivant sa rectification en X pour la constante de 65 évoquant 11 par 6+5
et la diagonale continue du carré de Mercure à 8 x 8 étendue 5 x 13,
suivant sa rectification en X pour la constante de 65 évoquant 11 par 6+5
et la diagonale continue du carré de Mercure à 8 x 8 étendue 5 x 13,
lesquels rappelleraient le cygne et l'aigle, autant que MARS et JUPITER ?
(Et l'Ara-gon(d) par la même occasion ?)
(Et l'Ara-gon(d) par la même occasion ?)
Ci-dessus le point vernal est en haut au centre et Bélier en haut à droite l'ordre des signes se fait dans la sens horaire (vers la droite) |
Solstices & Equinoxes, et Déclinaisons... |
Les 12 signes du zodiaque sur le disque de Denderah |
Denderah & secrète base N-isis |
Les 12 travaux d'Hercule |
x
Le zodiaque de Poussin à lyre en voile acté Pussy ? Qu'il faille envisager le huit clos de la bergère... |
Figure des corps célestes 1568 |
Dalí : Montre molle au début de la première explosion (botus et mouche cousue) A repérer l'arc outrepassé au niveau du 9 et du dessous du 4 en transversal |
Une autre carte intéressante avec éclipse (partielle) de Lune six jours après le solstice d'hiver de l'an 0 (ici en calendrier grégorien) |
Boussole Feng-Shui : 9 cases dont une centrale, huit directions |
Carré de 9 cases au naturel Tortue Lo Shu carapace (ventral) Chrisme du portail de l'église à Puigcerdà. Point de barre horizontale... Sablier, 8, sable héraldique et carré de Mercure Pape Pie IX, au plafon de la basilique San Lorenzo in Lucina, Rome |
Carré (et sceau) de Saturne à constante de 15
Qui oserait inverser le 8 et le 6 et
rompre l'harmonique constante de 15 ?
Avant l'inversion : + à droite & x à gauche et le 2-4-6-8 évoque une diagonale (4 - V - 6) (cotyle est don) Sceau de Saturne et diagonale (4 & 3 et 7 & 6 en verticales) Idée du sablier, et du 8, du lambda et du V cf. les items des quatre éléments (plus bas) Case-tord et Pol-lux au diabolo ou lab(r)ys ce fut vœu nu ? Et de torsion : bande de Mœbius à 2 en 1...
Carré LoShu
Une inversion préconisée par le Cygne et l'Aigle
dans leur direction opposée, tord Ut et tortue, une fois cette inversion effectuée, texte ci-dessous : |
Sablier morphologique,
7 & 3 : la taille fine
Le 8 de Chambord x 32 de chevalerie : du 39 diagonale du carré au 32 diagonale du rectangle d'eux Trois (à 4 x 8), outre que 39 x 7 = 273 (X x 27,3) (Réf : Carré de Saturne) Analemme Duomo à Milan (cathédrale), Capricorne au mur, où se termine la méridienne mise au sol |
- un 618 à l'horizontale évoquant le nombre d'or (lu de gauche à droite).
- la verticale de gauche à 13, celle du milieu restant à 15 et la verticale de droite passant à 17 (VIXI ?)
- un "moulin" façon svastika apparaît avec 1x13 et 3x9 : 9+4, 3+6, 1+8, 7+2 et avec une suite de nombre pairs dans ce même sens de "rotation".
- Cette suite des quatre chiffres pairs se trouve alors ordonnancée en C, soit 3 côtés d'un carré, équivalent de 9 mois ou 3 saisons sur le zodiaque.
- et surtout la diagonale 4,5,6 se trouve brisée au profit d'un triangle, lequel est ensuite coupé en deux tout comme le carré entier (l'intérêt et la justification du linteau en barre horizontale ou équatoriale) pour obtenir deux triangles et deux trapèzes comme une idée d'anti-paradoxe de la diagonale continue dans une "régression... virginale ?".
(cf. carrés de 5 et de 8), c'est donc l'idée d'un carré reconstitué par rapport à un rectangle, ou la négation de la diagonale.
L'ancienne suite de chiffres pairs 2,4,6,8 admettait une diagonale de 4 à 6 passant par le 5, la nouvelle formule en fait trois côtés, un C, comme un CAs (Cygne et Aigle) et un C AS (unité) du C de MerCure. Tout carré étant proportionnel à lui-même, l'attribution à un astre se fait par le quadrillage envisagé.
- Accessoirement la diagonale ainsi brisée laisse apparaître deux biais qui renvoient aux émaux héraldiques (voir autres annexes plus bas), la diagonale brisée prend la forme d'une étrave, avec la prouesse graalesque sur le 5 d'une proue (V) à l'étroitesse des entrées de port (Sinople & Pourpre et SerPentaire, cône & cylindre tel triangle et trapèze).
- 4,5,6 concernent le centre du linteau : 4² Jupiter (Cygne), 5² Mars (Aigle), 6² Soleil (Lyre et Serpentaire)
Vénus (7²) sur le linteau est entourée de Saturne (3²), Mercure (8²) et du même côté que Mars (5²)
Ainsi le carré de Saturne détient un V central, celui de Mars un 13 central, donc pour ces deux un nombre de symétrie centrale, lequel est le 25 pour Vénus lui-même constante du carré de Mars, et enfin le carré de Mercure (8 pair) ne contient pas de nombre central (ou plutôt quatre, voir plus bas) malgré les diagonales et sous-diagonales déjà en place (cf. image ci-dessous), et au-delà comment ne pas citer le "carré" de la constellation d'Hercule et sa phonologie adéquate, précisément très bien situé entre Ophiuchus au Serpent (Serpentaire) et la constellation du Dragon.
- en outre 618 ramène au 18,6 afférent à la notion de saros (éclipses)
- enfin l'idée du 8 est présente - lemniscate, infini, analemme - par torsion du bas
(des notions que l'on retrouvera à Chambord)
Bande de Meobius, lemniscate, infini, analemme : |
Castel del Monte :
Hameau del Monte, commune d'Andria, à 70 km à l'ouest de Bari, dans les Pouilles |
Le Plan, l'orientation |
Castel del Monte (XIII° s), par l'Empereur du Saint-Empire Romain, Frédéric II de Hohenstaufen : L'empereur et l'Aigle ou le Faucon |
Codex Bruchsal |
Au château de Terre Neuve (85), Capricorne en bas Remarquert IM au centre, MI inversé comme Majeur & Index, mais aussi comme Michel |
Mettre corps beau sur un art breu pair chez TENET en son bec un fort mage... |
Vaux-le-Vicomte, plafond du grand salon ovale : un Aigle, encore lui(t) ! (ou un Serpentaire ?). Documents annexes ici : * et 16 cariatides pour 12 signes du zodiaque et donc 4 "intrus" dans le(s) moins courbe(s) : 4 termes de saisons |
Vaux le Vicomte, plafond prévu initialement |
Abbaye de Fontfroide, grand vitrail Au-dessus de la porte d'entrée de l'église, point vernal en bas |
Cathédrale de Chartres, vitrail du zodiaque et des travaux des mois, les 4 signes fixes des saisons sont au centre |
Zodiaque de la Chapelle du château de Saint-Germain en Laye, noter le 13°signe au centre |
Et de demander au Capricorne d'avancer en Crabe ou en diagonale à la voile ? |
La certitude du carré à 8 x 8 (=64) est celle de ne pas Lyre la diagonale du rectangle à 5 x 13 (=65) à replier, remarquer que 6 + 5 = 11 (Gémeaux) et 6 + 4 = 10 (X) Le linteau serait donc un rectangle aspirant par ses personnages qui en tiennent à (re)devenir aussi un carré (régression) 65, outre la constante du carré de Mars est aussi la plus petite hypoténuse commune à deux triplets pythagoriciens primitifs distincts : et . Ce nombre est aussi la constante magique du problème des huit dames pour n = 5. Fourvières et ses 4 tours fourvoyées en rectangle - Lyon - O c'est IA, et K ou CA du C de Mer-Cure Racine Carrée, sigle par le K au quart de tour à gauche |
Le gisant du Cygne à Saint-Génis |
L'Angélus de Millet (admiré et repris par Dalí) Où l'on retrouverait... (voir bas de page du personnage central) |
« L’Angélus de Millet beau comme la rencontre fortuite, sur une table de dissection, d’une machine à coudre et d’un parapluie. » Pop-Op-Yes-Yes-Pompier par Salvador Dalí, deux autres tableaux sur le même thème : - Réminiscence archéologique de l'Angélus de Millet - L’Angélus architectonique de Millet |
S'ingénient cinq dragons 5 animaux mythiques afférents aux saisons, dont serpent au centre |
Principes médecine chinoise (attention parfoi(s) à la dérive sectaire) |
Le Feng-Shui et ses 8 trigrammes |
Anneaux Borroméens Blason d'Issoudun (dissous d'un ? ou issu d'un ?) |
La Laitière de Vermeer - 1658 - (aux deux avant-bras nus et manches retroussées de vert, contre-vair) |
Mandorle de l'homme zodiacal, début du XV° siècle (Capricorne = genoux et haut des jambes) |
La régression à 2 en 1 pour qui s'ingénie que ça tangue haut dans les (d)ébats |
Th.N.Y. |
Deniers - Coupes - Epées - Bâtons Printemps - Automne - Hiver - Eté |
Papillon martien 8-18 de contre-vair cœur et pique : Pape, papillon 8,18 et diagonale |
Anima Mundi 2 & 1 font 21, Le monde, anagramme le Démon ? Taureau de Luc, Lion de Marc, Aigle de Jean, Homme-Ange de Matthieu |
Louis XIV par Rigaud en costume de sacre = le Sceptre et la Précession |
Tétramorphe en Avignon |
Etats physiques de la matière et couleurs associées |
Items des quatre éléments Items simplifiés des quatre éléments et leur couleur respective |
Héraldique (Sinople - anagramme d'Epsilon - anciennement Vermillon (ver-mil-lon), réf. Sinop) |
Géorgie, blason |
Nout, déesse égyptienne de la nuit Geb & Nout et... genoux ? |
Les 8 trigrammes et 64 hexagrammes du Yi-King |
Triangle dalinien 2 x P et 1 F |
Diamant de la Vierge |
Chambord, losanges et ronds |
Hippocampe sur ses positions et licorne associée |
Tapisserie de la Dame à la Licorne |
Calendrier des Très Riches Heures du Duc de Berry |
Très Riches Heures du Duc de Berry : Janvier, remarquer en haut le retard du signe du Capricorne, lequel ne sera régularisé qu'en 1582 |
Barque solaire égyptienne et... Capricorne ? |
Calendrier Maya |
Lilith Babylone, ou le pouvoir masculin de s’affirmer de plus en plus face à la fertilité féminine ? La Plaque Burney (période paléo-babylonienne), parfois considérée comme une représentation de Lilith (British Museum, Londres) |
Linteau Saint-André-de-Sorède Equinoxe Printemps 2017, PL avec Saturne en apex... |
Nevali çori : Le fameux carré inspiré de Gobekli Tepe |
Nevali çori (-8000 à -10000 ans, Turquie) : Danse autour d'une tortue, rituel de fécondité |
Gobekli Tepe : pilier avec mains, ceinture et pagne |
Gobekli Tepe : pilier aux losanges 8 en haut et 9 en bas façon vair et contre-vair, réf. Mercure et Lune ? |
Abbé Th. Moreux, Directeur de l'Observatoire de Bourges
xçatal höyük
32 = 4 x 8 secteurs plus épars que le carré de Mercure aux diagonales en place |
Ciel d'été : la nouvelle donne mise en place sur le linteau en 1020 |
Vitrail au zodiaque abbaye de Fontfroide (11), Bélier et point vernal en bas... |
Archéoastronomie 1-2-3- |
Vierge à l'enfant et au serpentaire de Vinça (XIV° s.) (en Bleu et Ocre) |